Le 25 juillet 2013
Après plusieurs boucles pratiquées avec les cordes d'escalade, nouveau tour du Bec de l'Aigle en soirée, mais cette fois-ci avec l'équipement de canyonisme (sac et bidon étanche), afin de nager sous les portions d'escalade, dans une mer aux températures désormais presque tropicales !
Les gargouilles de poudingue sont toujours là à regarder la grande bleue vers l'ouest, et on en profite pour se glisser entre les surplombs de galets et les vagues dans le monde presque lunaire de l'envers du bec de l'Aigle, où seuls les gabians ponctuent le bruit du ressac. Un itinéraire décidément exceptionnel, où l'on se sent tout petit entre les vagues verticales figées du conglomérat et l'infini de la houle, à randonner sur ce fleuve de galets fossilisés ou nager face à aux sentinelles de pierre !
lors de la première tentative 18 juillet, vite avortée sous l'orage et les cascades dévalant du poudingue... On rentrera à la nage avec le sac à dos sur la tête...
... une semaine plus tard sous une météo bien plus clémente !
sous les lames de galets de la face sud du Bec de l'Aigle
une architecture à la Gaudi !
à mi-traversée sur les trottoirs de poudingue, une impression de petitesse sous l'immensité des surplombs
pendant le snorkeling, l'eau est bien trouble à cause de la houle générée par le vent de sud, y'a plus à voir au-dessus de la surface qu'au-dessous !
vue depuis le trou du diable et son spot de deep water soloing
crépuscule sur l'île du Riou, veillée par la tête du chien à la sortie de la calanque de Figuerolles
crépuscule sur Notre-Dame de la Garde et le sémaphore du Bec de l'Aigle